L’étincelle oublié

La naissance de la réalité du passé
Est le reflet interdit du corps
Chaleureuse qui danse dans l’obscurité
Des cauchemars qui battent le cœur 
De cette chanson éphémère. 

Viens là pour t’encadrer dans le début de
La lumière qui rend statique l’oxygène de tes yeux.
La souvenir d’un ami qui mène les clés du
Feu de ta rivière.

Pars maintenant, musique maudite du
Big Bang, laisse-moi dormir tranquille sans
La violence de ton son. Parce que rêver, je veux,
Mais jouer, non plus. Le soleil est déjà mort dans la 
Boisson de fer. 

Oublie cette vie caché aux hommes !
Écoute le foudre rouge qui devient la
Passion de ta création : l’étincelle
Qui fête avoir vécu, ce que nous appelons
Un temps perdu.