Quand le polygone charmé de ta bouche Se batte comme un bateau contre ma gorge, Je me deviens l’argile de la montagne, Poussière qui danse sur le vent de ta voix blanche, Son mouillé qui se fondre dans ma tête piégé : Pourrais-je grimper le mur de ton sourire blindé ? Un minute, deux minutes… Le temps est perdu à cause de la corde vocale qui triture le jeu – (je dis que la vie n’est qu’un jeu entre amis soumis à la chimie de la musique née à l’infini de…) Arrêt ton exercice chimérique ! L’oxygène me manque Quand la mathématique de ta danse Me rend un crayon numéro cinq qui écrit tout seul : Je tombe du haut de ta passion rouge Pour me fusionner avec la sable orange de ta peau… . ... ..... ....... ..... ... . Il n’y a plus à dire, plus à réfléchir, Quand tes lèvres m’élèvent à ce moment-là, Où le polygone charmé de ta bouche infini…